sam.
12
févr.
20H30
Sélène Saint-Aimé
Mare Undarum
Sélène Saint-Aimé contrebasse et chant • Guillaume Latil violoncelle • Mathias Lévy violon • Irving Acao saxophone • Hermon Mehari trompette • Zaza Desiderio ka, batterie
Mare Undarum mélange la chaleur des cuivres, le bois des cordes et le rythme du tambour ka. Sélène Saint-Aimé commence par travailler avec saxophone, trompette, et percussions puis adjoint les cordes, violon, violoncelle, contrebasse. Charge aux musiciens de pousser leurs improvisations vers des contrées africaines, très rythmées. Des influences que la jeune musicienne et compositrice, aux origines caribéennes africaines, revendique pleinement.
« Mare Undarum signifie « mer des ondes », nom donné à une mare lunaire. Ce titre fait référence à mon prénom, Sélène, qui est la déesse de la pleine lune dans la mythologie grecque. C’est un album autobiographique : j’ai associé ces cratères lunaires à des moments de ma vie. Un cratère, c’est un impact physique et certains instants de l’existence le sont aussi. Autant d’événements qui provoquent chez moi des sons, des notes, des vibrations, des images et des mots. » L’album marie six compositions originales de Sélène Saint-Aimé et trois « recompositions » de Steve Coleman, Villa Lobos et Mussorgski.
Sélène y chante parfois et dit ses poèmes, elle qui est impressionnée par la poésie, notamment celle de Philippe Jaccottet. « Ce que j’aime c’est que ma musique se gorge de souvenirs et d’émotions. »
Un spectacle programmé avec le soutien de l'ONDA, Scène O Centre et la Région Centre.
VICTOIRE DU JAZZ 2021 "RÉVÉLATION"