Le temps d'un atelier d'acrobatie, les enfants vont explorer leurs capacités ! Au programme : sauts, chutes, danses, roues, équilibres et déséquilibres.
INFOS PRATIQUES :
Durée : 1 heure
Entrée libre sur réservation
À destination des enfants de 8 à 12 ans
12 participant·e·s maximum
Elles sont deux... Depuis des années, elles parcourent le monde pour recueillir des témoignages, des récits, des anecdotes de cirque. Ce qui les intéresse plus particulièrement, ce sont les histoires de cirques intérieurs, celles qui se traduisent dans la vie de tous les jours car le cirque est partout. Parfois invisible pour les yeux, il nous habite souvent.
Lu et Clo, chercheuses en histoires circassiennes les font voyager dans une collection mobile afin qu’elles soient transmises et demeurent vivantes. C’est comme cela que leur «Circollection» continue de s’étayer à chaque rencontre, parce que du cirque, il y en a vraiment partout.
La preuve...
Le spectacle «Nos Circollections …» est issu d’une entité plus vaste : le projet Cirk&motion. Il s’agit d’un processus d’écriture au long cours dont les nombreuses composantes sont reliées par un coeur artistique commun : le cirque, sa symbolique et la résonance qu’elle peut constituer dans un parcours de vie.
Avec humour et poésie, les Circollections... parcourt le cirque et sa catharsis en utilisant les métaphores inhérentes à ses différentes disciplines. Le duo de spécialistes en « circasseries » nous amène à découvrir leur collection d’histoires en tous genres et explorer, en toute proximité, les cirques de l’intérieur. Contes mouvementés, haïkus dessinés, objets animés, séquences circassiennes illustrées, chaque histoire sort de sa boite et trouve son langage pour se raconter…
Thématiques : l’art de raconter, l’univers du cirque, poésie et haïkus, scénographie
Ce spectacle fait partie des parcours d’EAC en partenariat avec la DAAC et la DSDEN32 sur la plateforme ADAGE.
Priorité aux écoles inscrites sur ce parcours POUR LE CYCLE 3 (CM1/CM2).
Tapage c’est le titre du spectacle. En quoi ça consiste ?
Autour de la notion de chaos, une équipée sauvage et un "brin" décalée bouge, danse, s'attrape, se porte et parle. Dans une succession de fragments, on retrouve pleinement l'univers inclassable de la Cridacompany entre jonglerie, manipulation d'objets, portés acrobatiques, musique, danse.
Quelque chose qui n'existe que parce qu'ils sont ce qu'ils sont. Une aventure aussi étrange que percutante.
"Position risquée, réactions en chaines inattendues, croisements imprévus,— nouvelle cartographie d’un plateau (dedans-dehors), des artistes et des éléments sur ce plateau, vont et viennent indépendamment des règles d’harmonies, comme toute couleur va ou travaille avec n’importe qu’elle autre couleur ; à fleur de peau, chaque matière d’expression s’exerce à répondre à l’autre — d’une acrobatie l’autre, d’une chanson l’autre, d’un récit, d’un accent, d’un souvenir l’autre. Quand ça coince, quand ça marche, tout compose ensemble. Le cirque, une haute précision de minuties, de savoir faire, d’intuitions, d’intentions, de rêves. Un entrelacs de détail et le spectacle gît dans les détails, n’est-il pas ?" Eric Da Silva
Un spectacle programmé à l'occasion du Festival du Cirque Actuel de CIRCA.
Co-production et soutien
DRAC Occitanie – dans le cadre d’un conventionnement • MA Scène nationale - Pays de Montbéliard, Montbéliard • La Gare Mondiale / Le Melkior, Bergerac • L'Eté de Vaour • Cofinancé par le programme Erasmus+ de l’Union européenne dans le cadre du Consortium Cirque – Occitanie – Europe • La Grainerie, Fabrique des Arts du Cirque et de l'Itinérance, Toulouse • Latitude 50, Marchin, Belgique • La Verrerie d’Alès Pôle National Cirque Occitanie • Circa Pôle National Cirque, Auch Gers Occitanie • La compagnie bénéficie du dispositif d'aide à la création du Département de la Haute-garonne
Devinette : qu’y-a-t-il de commun entre marcher, tisser, observer, chanter, chasser, raconter une histoire et dessiner et écrire ?
Poème sonore et graphique à quatre mains, dans un environnement musical joué en live, L’Oiseau-Lignes compose et recompose une grammaire poétique. À corps et à craie. Cette opération malicieuse fait bouger les lignes et nous suggère de douter de ces évidentes oppositions entre le lourd et le léger, la surface et le trait, le haut et le bas. C’est mettre l’être à la renverse et voir le monde autrement.
Marielle Chatain, aux machines, tissent des lignes musicales. Chloé Moglia manipule des craies blanches sur fond noir, dessinant des motifs en suspension. Hauteur et verticalité croisent des horizons linéaires. La durée est scandée par les inspirs et expirs des deux forces en présences. Les fluides atmosphériques dans lesquels nous baignons, baignent aussi en nous. C’est le monde de l’air et des songes, de la légèreté et de l’absence d’appui. Un monde de l’imaginaire que peuplent les oiseaux - tels qu’on les imagine.
Il y a dans cette légèreté fluide quelque chose de l’enfance, d’une forme de liberté de mouvement et peut-être de l’innocence. L’enfance renvoie au temps. Passé, présent, futur. Mystère fuyant de « la fine pointe du présent ». Le temps renvoie à l’espace, où les lignes sont courbes, nécessairement. Le long de ces lignes passent encore quelques oiseaux. De moins en moins.
Avec Foradada, Àfrica Llorens crée un spectacle personnel qui questionne les racines, la tradition, le corps, le doute sur le fonctionnement du monde d'aujourd'hui en termes de différenciation sexuelle et de genre, la fragilité et la force de l'humanité, l'artisanat des paniers et la sagesse intérieure de la femme et de ses blessures, le tout dans un espace circulaire.
Foradada est inspiré d'une des légendes de la montagne de Montserrat (Catalogne). Le spectacle part de la tradition pour questionner le genre, à travers le mouvement avec un panier en osier et dans un espace circulaire. Le regard horizontal et participatif transforme le corps acrobatique en un rituel sensible et subtil de réflexion collective. Artisanat, cirque et tradition fusionnent comme l'eau, l'osier et la peau pour aborder un sujet aussi contemporain que le genre. L'intention est de faire une création rurale, coopérative et vécue.
Àfrica Llorens se nourrit de divers sujets et sources tels que l'artisanat de la vannerie, l'absurdité du clown, le bouffon, la bibliographie sur le genre, les rencontres avec des historiens, les expériences de rituels et d'expériences corporelles, la recherche autour de légendes et chants folkloriques, la voix et la danse.
PREMIERE PARTIE :
Le vide entre la tête et la queue de Rakoo de Andrade (marionnettiste, performeuse).
C'est un marais habité. On entend des êtres vivants qu'on ne voit pas. Un crocodile est là, seul... Mais lorsqu'on est confiné dans les entrailles d'un reptile, sortir devient une vraie question...
« Réinventer un rapport poétique et sensible au vivant »
Le vertige c’est quand les certitudes s’échappent.
Le vertige c’est quand les repères se distordent.
Et le vertige, c’est aujourd’hui.
Quand quelque chose cède sous nos pieds, tous les repères disparaissent brutalement. Le réel, soudain, nous glisse entre les doigts. Tout bascule. Une bascule où les possibles s’ouvrent à nous. Ce lieu du fragile, de l’incertain, du sensible. Quel-est ce devenir, en germe, après une supposée destruction ? Que reste-t-il de visible et de sensible après le passage d'une catastrophe naturelle ou après le passage d'un corps sur un autre ? Que reste-t-il de vivant malgré le déclin de la biodiversité, que reste-t-il de vibrant après le passage d'un cerf-volant ? Qu'est ce qui résonne émotionnellement après une rencontre ?
La cie Lapsus et le romancier Pierre Ducrozet ont décidé de s’associer pour ce projet, portés par l’audace d’une rencontre à inventer. Après avoir régulièrement constaté que leurs démarches de créateur.trice.s se rejoignaient, ils ont allié leurs forces et imaginaires pour créer un triptyque qui prendra la forme d’un roman, d’un spectacle de cirque, programmé ici, et d’une forme hybride mêlant cirque et littérature. Au cœur de cette création atypique repose la crise écologique sans précédent que traverse l'humanité.
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« Réinventer un rapport poétique et sensible au vivant »
Le vertige c’est quand les certitudes s’échappent.
Le vertige c’est quand les repères se distordent.
Et le vertige, c’est aujourd’hui.
Quand quelque chose cède sous nos pieds, tous les repères disparaissent brutalement. Le réel, soudain, nous glisse entre les doigts. Tout bascule. Une bascule où les possibles s’ouvrent à nous. Ce lieu du fragile, de l’incertain, du sensible. Quel-est ce devenir, en germe, après une supposée destruction ? Que reste-t-il de visible et de sensible après le passage d'une catastrophe naturelle ou après le passage d'un corps sur un autre ? Que reste-t-il de vivant malgré le déclin de la biodiversité ? Qu'est ce qui résonne émotionnellement après une rencontre ?
La cie Lapsus et le romancier Pierre Ducrozet ont décidé de s’associer pour ce projet, portés par l’audace d’une rencontre à inventer. Après avoir régulièrement constaté que leurs démarches de créateur.trice.s se rejoignaient, ils ont allié leurs forces et imaginaires pour créer un triptyque qui prend la forme d’un roman, d’un spectacle de cirque, programmé ici, et d’une forme hybride mêlant cirque et littérature. Au cœur de cette création atypique repose la crise écologique sans précédent que traverse l'humanité.
Appuie-toi sur moi est un conte circassien qui nous fait voyager dans les aléas d’une rencontre improbable et étrange.
Un cirque à ciel ouvert, une piste octogonale, un mât chinois au centre, voilà le décor de ce récit que les artistes nous font vivre avec leurs corps et leurs voix. Les spectateurs réunis autour de la piste se retrouvent plongés dans l’intimité des protagonistes qui se livrent à coeur ouvert.
La démarche circassienne
Travaillant depuis plusieurs années sur le mât chinois en duo, le souhait est que cet agrès soit présent au centre de la piste afin d’apporter une dimension verticale à l’espace de jeu. À ce mât, a été ajouté un point d’accroche rotatif placé au sommet, sur lequel vient se fixer un autre agrès aérien qui peut tourner autour du mât et s’approcher au plus près du public. La proximité exacerbe la prise de risque circassienne que le public ressent comme s’il y prenait part.
La musique
L’univers musical de cette création mêle musique au plateau et enregistrée. Les bandes sonores apparaissent à certains instants comme pour soutenir ponctuellement des actions du spectacle. Le musicien et régisseur du spectacle, témoin de ce qui se passe en piste, est celui qui rythme l’ambiance sonore par le son de sa basse lancinante et continue, et les musiques qu’il choisit de passer pour mettre en valeur les actions du spectacle.
Avec le soutien de l'ONDA, Office National de Diffusion Artistique
Appuie-toi sur moi est un conte circassien qui nous fait voyager dans les aléas d’une rencontre improbable et étrange.
Un cirque à ciel ouvert, une piste octogonale, un mât chinois au centre, voilà le décor de ce récit que les artistes nous font vivre avec leurs corps et leurs voix. Les spectateurs réunis autour de la piste se retrouvent plongés dans l’intimité des protagonistes qui se livrent à coeur ouvert.
La démarche circassienne
Travaillant depuis plusieurs années sur le mât chinois en duo, le souhait est que cet agrès soit présent au centre de la piste afin d’apporter une dimension verticale à l’espace de jeu. À ce mât, a été ajouté un point d’accroche rotatif placé au sommet, sur lequel vient se fixer un autre agrès aérien qui peut tourner autour du mât et s’approcher au plus près du public. La proximité exacerbe la prise de risque circassienne que le public ressent comme s’il y prenait part.
La musique
L’univers musical de cette création mêle musique au plateau et enregistrée. Les bandes sonores apparaissent à certains instants comme pour soutenir ponctuellement des actions du spectacle. Le musicien et régisseur du spectacle, témoin de ce qui se passe en piste, est celui qui rythme l’ambiance sonore par le son de sa basse lancinante et continue, et les musiques qu’il choisit de passer pour mettre en valeur les actions du spectacle.
Avec le soutien de l'ONDA, Office National de Diffusion Artistique
L’Astrada inaugure cette saison anniversaire samedi 2 et dimanche 3 octobre entre Marciac et Plaisance dans le cadre de son week-end d’ouverture. Le programme aussi vaste que varié prévoit de la musique, des ateliers de création graphique, du cirque, du théâtre de rue et des concerts improvisés.
