sam.
31
juil.
21H00
LAURA PERRUDIN
DOKSHA
Laura Perrudin voix, harpe, machines, composition & textes
Ronan Courty contrebasse
Simon Bernier batterie
Thibault Florent guitare
Gérald Chevillon saxophone basse
Repérée en 2015 avec la sortie de son premier album « Impressions », la jeune chanteuse, harpiste, compositrice Laura PERRUDIN a vu son incroyable production artistique à partir de la harpe electrique et des machines, rencontrer un public de plus en plus large après la sortie de son second album « Poisons & Antidotes ». Prêtant sa voix singulière aux recherches et bidouillages électroniques qu'elle affectionne tant, Laura Perrudin compose un univers personnel très fort mêlant groove et poésie qui donne lieu à des concerts surprenants où elle enfile la panoplie du parfait geek (laptop, pédales d'effet, looper multipistes).
Pour ce tout nouveau groupe, elle s‘entoure de musiciens exceptionnels, tous rompus aux explorations entre jazz, musique contemporaine, pop et musiques electronique, et imagine un nouveau répertoire de chansons qui puisent leur inspiration dans une vision du monde inquiète, mais non dénuée de malice, des périls écologiques et idéologiques… Doksha comme une évocation de l’univers absurde des célèbres « Shadoks » et comme « doxa » (définition : ensemble des opinions, préjugés ou croyances qui sont relatives à un comportement social, rumeur…)
« Tout concourt : Laura Perrudin donne à entendre une pensée, un univers, un être. » FRANCIS MARMANDE, LE MONDE
« Laura Perrudin évacue [les stéréotypes] d’une pichenette dès son premier album solo. Non contente de soumettre des textes de Yeats, Joyce et Shakespeare à ses contorsions vocales et harmoniques, la jeune iconoclaste embarque le jazz dans des sauts d’intervalles contemporains, des grooves r’n’b ou d’insolubles ambiguïtés modales. On s’étourdit ainsi aux mille jeux d’une artiste-équilibriste, à sa radicalité gaie et spontanée toute moderne. » LES INROCKS
« Quand la musique électronique est à ce point vivante et organique, c’est tout simplement fascinant. » CITIZEN JAZZ
« Laura mêle avec élégance et beaucoup d’imagination un groove profond aux textures les plus oniriques. » CULTURE BOX
« Avec son titre « The Ceiling’s Maze », la chanteuse et harpiste bretonne continue d’émerveiller et laisse présager un album d’une grande richesse. (…) Des prouesses vocales et une signature qui ne sont pas sans rappeler la diva du jazz sud-coréenne Youn Sun Nah. Associée au son de la harpe, sa voix fait aussi écho à une autre grande artiste : la chanteuse islandaise Björk. Que ce soit sur le plan mélodique ou sur le plan instrumental, la parenté est patente. » FIP